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Photo du rédacteurClaire Peltier

Perspectives 2021 : Quelques éléments pour aborder la nouvelle année

2020 avec cette pandémie qui n’a épargné aucun pays et la réponse des états, a imposé pour beaucoup d’entre nous des restrictions et nous a fait bouger dans nos perceptions, nos ressentis, nos émotions. Depuis quelques temps je reçois davantage de personnes en situation de traumatisme/ stress post traumatique, d’anxiété et d’angoisse en soins énergétiques. Il s’agit de traumatismes anciens : de l’enfance, la petite enfance, également de vies passées - par exemple des abus sexuels, de la maltraitance, mais aussi la perte d’un parent, ou des violences, abandon, angoisse de vies passées, et dont l’énergie est encore présente. L’angoisse qui est devenue presque palpable autour de nous avec cette crise agit comme un déclencheur qui les fait resurgir pour nous pousser à les affronter et en guérir. Certes, ce n’est pas nouveau, beaucoup ont surmonté leurs traumatismes avant ; cependant il y a une réelle accélération pour tous.


Guérir veut dire reconnaitre sa blessure dans un premier temps, trouver son origine, peut-être le message qu’elle a à nous confier, puis trouver les ressources pour aller au-delà, et faire avec. Guérir n’est pas tirer un trait dessus et faire comme si cela n’avait jamais existé, mais au contraire, accepter, reconnaitre et se transformer pour vivre avec, vivre mieux. Car souvent la blessure ou la maladie porte un enseignement ; la guérison est son pendant.


Il semble y avoir eu un message commun dans ces cas : il s’agit de s’ouvrir aux émotions, à ce qu’il se passe autour de nous, ce que nous ressentons, pour pouvoir ensuite être au plus près de ce que nous sommes. Les émotions sont à la croisée des chemins de l’âme et du corps, et s’expriment physiquement par des ressentis. C'est notre côté féminin - que l’on a tous, homme, femme, ou quel que soit le genre auquel vous vous identifiez. Encore faut-il pouvoir les exprimer !


La difficulté de ces émotions est que pour bien les traiter, pour être en accord avec elles, il faut les accueillir, sans les restreindre ; il convient donc de lâcher le mental. Ce mental s’est souvent construit pour une raison en couvrant ces émotions, en les contrôlant et nous fait sentir que nous sommes forts, que nous avons le pouvoir. Or c’est pour moi un leurre.


Dans les messages que j’ai canalisés pour des personnes qui me consultaient, mes guides spirituels me disent très clairement que c’est en acceptant ses émotions que l’on sera plus fort, en sachant de quoi nous sommes faits, en exprimant ce qui nous fait mal, ou ce qui nous met en joie, en partageant une certaine vulnérabilité aussi. Au contraire, plus nous résistons, plus nous restons dans ce contrôle du mental (souvent par peur) et plus les blocages physiques vont ressortir, d’une façon ou d’une autre. Il faut donc lâcher prise. S’il est bien souvent répété à tout va, ce fameux lâcher prise est en fait un véritable travail, qui se déroule en profondeur, dans l’intimité de son âme et vient défaire non seulement nos croyances, mais aussi notre construction (sociétale, identitaire, communautaire, familiale ...). Il nous fait revisiter ce que l’on croit que l’on est, ce que l’on veut être, il nous fait douter pour nous faire ouvrir des portes. C’est donc une véritable transformation, progressive. Il s’agit petit à petit de remplacer un élément par un autre, de comprendre l’origine de ses croyances, d’accepter ce qui vient à la place. C’est une remise en question aussi, car une fois que l’on reconnait pourquoi l’on s’est construit ainsi, on ne peut revenir en arrière.


Fin août j’avais la canalisation suivante à propos de l’archétype masculin (je la retranscris telle que je l’ai reçue) “Il y a eu un changement d’archétype : le masculin représentait la force, la puissance, la solidité, l’ancrage, qui s’exprime par la sensibilité. Mais certains éléments de l’archétype ont été changés à un moment et l’agressivité, le contrôle, la violence et la brutalité ont remplacé la sensibilité. C’est pourquoi beaucoup de gens ne s’y retrouvent pas. Ils ont perdu leurs repères”. Cet archétype reprend maintenant sa forme originelle avec sa sensibilité - ce qui affecte de nombreux hommes qui s’évertuent à tout gérer, pour tout le monde et finalement, se trouvent vidés mais souvent n’osent pas exprimer leur vulnérabilité.


Deux éléments sont essentiels pour trouver les ressources pour s’adapter et s’ouvrir : être bien ancré et centré dans son cœur. La méditation nous permet de retrouver le calme mental, l’équanimité nécessaire afin de s’ouvrir à ce qui vient. Lorsque l’agitation est trop importante pour se poser, alors une pratique de mouvements en conscience et de respiration, comme le yoga ou le qigong, pourra ralentir les pensées en dirigeant l’attention vers le mouvement et le corps pour laisser l’énergie circuler librement. La sagesse a besoin d’ancrage, et l’ancrage passe par le corps physique, puisque nous sommes incarnés. Aussi, gardez un taux vibratoire élevé : en pratiquant des méditations régulières et en évitant de perdre du temps sur ce qui est négatif pour vous, ce qui ne vous convient pas. Attachez-vous plutôt à créer du positif. Regarder des formes de géométrie sacrée telles que l’arbre de vie ou le cube de Métatron peut vous aider dans les méditations : les yeux mi-clos, vous pouvez fixer ces motifs, en respirant régulièrement et vous laisser imprégner de l’énergie qu’ils diffusent.


2021 et les années qui viennent, vont encore nous secouer, différemment, de multiples façons. Accepter ses émotions, les transformer, dépasser nos peurs pour être dans le présent, ancré et centré dans son cœur, nous permettra de mieux aborder tous ces changements en étant le plus vrai possible, connecté à son environnement.


Prenez soin de vous, mes vœux vous accompagnent,


Claire


Pour connaitre votre fonctionnement, vos missions de vies, vos blocages karmiques, demandez une lecture d’âme par les annales akashiques !


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