Il y a à peu près deux ans et demi, je commençais à proposer mes séances, soins énergétiques et lectures des archives akashiques, en plus de cours de yoga et de qigong.
Mais il aura fallu un long parcours pour en arriver là ! C’est pourquoi vous me verrez souvent parler de l’importance du cheminement, peut-être même plus que le but.
S’il y a eu un fil conducteur depuis l’enfance, une expérience en particulier a accéléré les choses, comme un tsunami. C’est le traumatisme que j’ai eu lors de ma deuxième mission dans l’humanitaire, dans les pays en conflit. Là, j’ai été témoin de la guerre et de la violence infligée par l’homme envers l’homme, envers des femmes et des enfants.
A mon retour en France, cela s’est révélé insupportable. C’était plus que je ne pouvais absorber et si la vie humaine était cette violence, alors je voulais qu’elle s’arrête. Tout simplement.
Le traumatisme est défini comme ‘trop, trop tôt, trop vite' par Diane Pool Heller ; pour Peter Levine c'est quelque chose que la psyché ne peut pas intégrer. C’est ce qu’il s’est passé, comme une machine qui ‘plante’, mon cerveau a buggé ; pas de possibilité de redémarrer. C’était la fin de la vie pour moi. On était en 2009. Fin de l’histoire.
Mais pas tout à fait. Quelque chose était là qui me poussait à aller plus loin, à chercher du sens, et d’abord, à chercher de l’aide.
J’ai suivi un chemin de guérison par la psychothérapie, l’ostéopathie (à cette époque déjà la connexion entre le corps et l’esprit était très présente), puis la méditation, au travers de laquelle j’ai eu des expériences très profondes de conscience pure.
Tout cela m’a conduite aux formations en yoga, qigong, à l’énergie, aux régressions. Aller dans tous les recoins de ce que nous sommes (ou plutôt, un grand nombre), trouver les moyens pour intégrer les informations dans mes cellules, qu’elles ne restent pas dans le mental.
Une fois les blocages dépassés, intégrés, j’ai pris conscience que je pouvais canaliser l’énergie pour soulager les douleurs, les émotions, débloquer des problèmes trans-générationnels, karmiques. Ces éléments dont nous héritons mais qui ne sont pas notre histoire.
A mon sens, nous pouvons choisir une autre approche que celle que la médecine envisage, un approche qui peut aussi être parallèle, car la médecine offre bien sur des ressources ! Mais il me semble important, d'envisager les choses sous un autre angle, surtout lorsque cette médecine se trouve limitée. Nous sommes plus qu'un corps et des organes. Nous sommes une machine très profonde, qui a en elle-même de grand pouvoir de guérison. Car l'on peut se sortir de chocs, de maux divers, d'émotions emprisonnantes, de ces accidents de la vie qui ne laissent personne indemne, de traumatismes même, alors qu'ils sont si complexes (et doivent être abordés avec prudence, quelle que soit l'approche que l'on utilise). Nous sommes parfois porteurs de choses qui ne peuvent s'expliquer lorsque nous nous limitons à ce qui est visible et mesurable (par les outils dont nous disposons maintenant, qui sont loin de pouvoir tout mesurer!). S'ouvrir à ces possibilités est déjà une porte ouverte sur le chemin pour se retrouver.
Canaliser de l’énergie, des messages, comprendre l’âme ou lire les mémoires akashiques est toujours pour moi une expérience fascinante. Cela m’aide à comprendre la vie, le sens, notre raison d’être, essayer d’aider les gens à naviguer dans cette expérience, sans couler.
Car la vie a un coté merveilleux !
Prenez soin de vous, Claire
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